photographies du lac magadi et des flamants nains vu du ciel
Le lac « Magadi » qui signifie « soude » en Swahili porte très bien son nom, puisqu’il contient une concentration de soude caustique unique, produite naturellement par la transformation des sédiments au contact des eaux de ruissellement et des laves en fusion sous le lac. Dans cette eau salée, des millions de flamants nains viennent se nourrir des microalgues, crevettes et autres crustacés. En période de sècheresse, lorsque l’eau s’évapore, la concentration en soude est si forte et la profondeur du lac si faible qu’une croûte de cristaux de soude le recouvre en partie. Vu du ciel, le fond du lac présente alors d’étranges dessins que l’on croirait tracés par un artiste. Lorsque des groupes de flamants nains viennent se glisser dans ce décor enchanteur, tout devient soudainement magique.
Titre : Ambiance irréel (Crédit photo © Alexandre et Chloé Bès)

Distinctions :
- Finaliste, catégorie passion, concours international Grand Prix Photo de Saint Tropez 2025 (France).
- 1er prix, catégorie nature, concours international « One Eyeland » 2023 (Inde).
- Médaille d’or, catégorie nature, concours international « NARAVA » 2023 (Slovénie).
- 2ème prix, catégorie faune, concours international « reFocus Awards » 2023 (États-Unis).
- Finaliste, catégorie oiseaux dans tous ses états, concours international « Emotion’Ailes » 2023 (Belgique).
- Finaliste, catégorie nature sauvage, concours international des marais de Séné 2023 (France).
- Highly commended, catégorie oiseaux, concours international « Magical Nature » 2023 (Slovénie).
- Finaliste, concours international « Africa Geo » 2023 (Afrique du Sud).
- Mention honorable, catégorie oiseaux, concours international « Oasis photo contest » 2023 (Italie).
- Winner, catégorie règne animal, concours international « Life Framer » 2023 (Royaume-Uni).
- Highly commended, catégorie biodiversité, concours international « Mémorial Maria Luisa de Fotografia » 2023 (Espagne).
- 2 ème prix, catégorie oiseaux, concours international « Asférico » 2023 (Italie).
- Highly commended, catégorie Africa, concours international South Africa, Photographer of the Year 2024 (Afrique du Sud).
Photographie disponible à l’achat (tirage d’art en édition limité à 30 exemplaires).
Titre : Envol magique (Crédit photo © Alexandre et Chloé Bès)

Distinctions :
- Grand Prix, catégorie passionnés, Grand Prix Photo de Saint-Tropez « Tout est possible » 2025 (France).
- 4ème, catégorie nature et paysage, Coupe du Monde de Photographies 2024.
- 1er prix, catégorie nature, concours international One Eyeland 2023 (Inde).
- Médaille d’or, catégorie animalier, Médailles de la Photographie Professionnelle Française 2023.
- Highly commended, catégorie nature, concours international « NARAVA » 2023 (Slovénie).
- Finaliste, catégorie diversité, concours international « HIPA » 2023 (Émirats arabes unis).
- Finaliste, catégorie oiseau, concours du festival international de Montier-en-Der 2023 (France).
- Finaliste, catégorie oiseau, concours du festival international de Namur 2023 (Belgique).
- 2ème prix, catégorie faune, concours du Chamonix Photo Festival 2023 (France).
Photographie disponible à l’achat (tirage d’art en édition limité à 30 exemplaires).
photographie de flamants nains qui dessinent le continent africain
Les grands lacs de la vallée du Rift font partie des systèmes hydrographiques les plus menacés au monde. Le changement climatique provoque une montée des eaux, tandis que l’exploitation des ressources détruit les forêts et la biodiversité. Cette mauvaise gestion des terres aggrave l’érosion des sols et augmente l’envasement des lacs. Au lac Bogoria, la montée des eaux et à la déforestation menace les flamants roses. Les inondations favorisent la prolifération de la plante invasive prosopis juliflora, dont les épines et les branches piègent les oiseaux lorsqu’ils volent. L’habitat devient inadapté : l’augmentation du niveau d’eau limite l’accès aux algues, principale nourriture des flamants roses, et accroit la pollution. Ces conditions forcent les flamants à se déplacer, les exposant davantage aux prédateurs. Cette photographie, prise pendant la saison des pluies en avril 2024, capture des flamants roses disposés de manière à évoquer la forme du continent africain, tandis que l’eau ruisselant jusqu’au lac semble dessiner les artères d’un cœur. Après plusieurs jours d’observation sur place, j’ai été témoin de la montée rapide du niveau de l’eau, mêlant terre et sédiments, une illustration poignante des effets de la déforestation et du changement climatique. J’espère que cette image symbolique mettra en évidence le rôle crucial des systèmes hydrographiques de la vallée du Rift et soulignera l’urgence d’agir pour restaurer les habitats, lutter contre les espèces invasives et adopter des stratégies durables pour protéger ces écosystèmes uniques et fragiles.
Titre : Pink Africa (Crédit photo © Alexandre et Chloé Bès)

Distinctions :
- Mention honorable, concours international Mémorial Maria Luisa 2025 (Espagne).
- Highly commended, concours international Pangolin photo challenge 2025 (Botswana).
- Finaliste, concours international d’Africa Géo 2024 (Afrique du Sud).
Photographie disponible à l’achat (tirage d’art en édition limité à 30 exemplaires).
photographie d’un éléphant en noir et blanc
À l’inverse de l’homme, l’éléphant est dépourvu de glandes sudoripares, il ne peut donc pas transpirer. Dans les plaines africaines, la chaleur peut être accablante. Pour y résister, l’éléphant a un secret. Un mécanisme unique qui lui permet de faire baisser la température de son corps. Une climatisation naturelle en quelque sorte. La couche externe de sa peau est couverte d’un très grand nombre de micro-crevasses qui ne sont pas visibles à l’œil nu. Celles-ci permettent de retenir une grande quantité d’eau qui en s’évaporant rafraîchit son corps. Ces fissures, qui peuvent faire jusqu’à un millimètre de profondeur non seulement permettent d’absorber entre cinq à dix fois plus d’eau, mais retiennent aussi mieux la terre et la boue. Ce qui assure à l’éléphant une protection optimale contre le soleil et les parasites. Cependant les nouveau-nés en sont dépourvus. C’est au cours de la première année que ces micro-crevasses apparaissent.
Titre : La reine d’Imire (Crédit photo © Alexandre et Chloé Bès)

Distinction :
- Highly commended, catégorie wildlife, concours international Monovisions Photography Awards 2024 (England).
Photographie disponible à l’achat (tirage d’art en édition limité à 30 exemplaires).
photographie d’un baobab dans une tempête de sable
Avec une diversité génétique de huit espèces, dont six ne survivent que sur l’île africaine de Madagascar, le baobab est un arbre étonnant qui prospère en milieu urbain, rural et forestier. Cet arbre d’une longévité extraordinaire doit sa survie à sa capacité d’absorber et de stocker un maximum d’eau durant la saison des pluies. Le baobab africain est le plus connu d’entre eux. On peut le rencontrer dans les savanes arborées sèches de nombreux pays d’Afrique subsaharienne. Celui-ci a été photographié dans le parc national de Tsavo Ouest au Kenya en mars 2023 avec des feuilles vertes lors d’une tempête de sable en pleine saison sèche. Il témoigne de la force et de la résistance face à des conditions de vie extrêmes.
Titre : Le millénaire (Crédit photo © Alexandre et Chloé Bès)

Distinction :
- 1er prix, catégorie monde végétal, concours international « Mémorial Maria Luisa de Fotografia » 2024 (Espagne).
Photographie disponible à l’achat (tirage d’art en édition limité à 30 exemplaires).
photographie d’un rhinocéros en noir et blanc
Les rhinocéros sont les plus gros mammifères terrestres, juste après les éléphants. Leurs ancêtres seraient apparus il y a environ 30 Millions d’années. On compte aujourd’hui cinq espèces de rhinocéros à travers le monde, dont le rhinocéros blanc qui est le plus grand d’entre eux. La journée, il aime dormir dans un bain de boue pour se protéger du soleil, de la chaleur et des parasites. De nature solitaire et territorial, ce mâle imposant n’est pas près de partager ce lieu très convoité en période de sécheresse. Il n’a pas hésité à intimider et repousser ses congénères à plusieurs reprises.
Titre : Animal préhistorique (Crédit photo © Alexandre et Chloé Bès)

Distinction :
- Finaliste, catégorie diversité en noir et blanc, concours international « HIPA » 2023 (Émirats arabes unis).
Photographie disponible à l’achat (tirage d’art en édition limité à 30 exemplaires).
photographie du reflet d’un groupe d’éléphants à un point d’eau de tsavo
Tsavo est un lieu unique en son genre. Avec ses 22800 km², il représente à lui tout seul 4% de la superficie du Kenya, ce qui fait de lui le plus grand parc national du pays. Il est séparé en deux parties, Est et Ouest, par la route et la ligne de chemin de fer qui relient Nairobi à Mombasa. Ce parc recèle de merveilles ! Partout, d’immenses baobabs dominent la savane et la terre rouge vif emblématique de Tsavo marque de son empreinte tous les animaux qui vivent dans ce cadre extraordinaire. Ici, les éléphants sont rois. Le parc abrite la plus grande population d’éléphants du Kenya. Ces incroyables pachydermes sont plus de 13000 à se déplacer librement sur ce vaste territoire. Ils ont dû surmonter d’énormes défis : les sècheresses successives, la perte de leur habitat ou encore le braconnage et le commerce illégal de l’ivoire. Aujourd’hui il ne resterait plus que 30 éléphants aux défenses géantes (« Super Tusker ») dans toute l’Afrique et Tsavo en abrite un tier.
Titre : Tsavo, terre des géants (Crédit photo © Alexandre et Chloé Bès)

Distinction :
- Finaliste, catégorie diversité en couleur, concours international « HIPA » 2023 (Émirats arabes unis).
Photographie disponible à l’achat (tirage d’art en édition limité à 30 exemplaires).
photographie de rhinocéros blancs avec le mont kenya en toile de fond
Culminant à 5199 mètres, le Mont Kenya est un massif gigantesque formé par l’activité volcanique de la grande faille de la vallée du Rift. Il est le deuxième plus haut sommet d’Afrique derrière le Kilimandjaro. Rarement visible en journée, l’immortaliser avec l’un des plus gros mammifères terrestres demande du temps, de la patience et de la persévérance. Lors de ses déplacements, ce petit rhinocéros blanc restait toujours en contact rapproché avec sa mère. Il la devançait tout en répondant immédiatement à ses changements de direction. Pendant un court instant, les cimes du Mont Kenya se sont dévoilées à travers les nuages pour sublimer ce magnifique duo. Immortaliser ces deux géants, symboles de la savane africaine, sur une seule et même photographie est un moment inoubliable à vivre.
Titre : Géants d’Afrique (Crédit photo © Alexandre et Chloé Bès)

Distinction :
- Finaliste, catégorie nature sauvage, concours international des marais de Séné 2023 (France).
Photographie disponible à l’achat (tirage d’art en édition limité à 30 exemplaires).
photographie d’une famille d’éléphants traversant une rivière asséchée
Cette photographie a été réalisée au mois d’octobre 2022 à proximité de la réserve nationale de Samburu. Après quatre saisons des pluies consécutives insuffisantes, le Kenya subissait sa pire sécheresse des dernières décennies. Ici s’écoule la rivière Ewaso Ng’iro, une précieuse source d’eau pour une multitude d’animaux. Tout juste avant la pandémie du COVID-19, en février 2020, nous réalisions non loin d’ici sur le même cours d’eau une série de photographies d’une famille d’éléphants traversant la rivière. Des pluies diluviennes c’étaient abattu sur la région et le niveau d’eau était au plus haut. Il est difficile de s’imaginer qu’ici même, dans ce lit de rivière asséchée, les éléphanteaux étaient immergés. On ne voyait que leur trompe hors de l’eau à la manière d’un tuba.
Titre : Rivière asséchée (Crédit photo © Alexandre et Chloé Bès)

Distinction :
- Finaliste, concours international « Africa Geo » 2023 (Afrique du Sud).
Photographie disponible à l’achat (tirage d’art en édition limité à 30 exemplaires).
photographie d’une femelle rhinocéros blanc avec son petit
Jusqu’au milieu du 19ème siècle, les rhinocéros, blancs ou noirs étaient largement répandus dans les savanes africaines. Provoquée par la cupidité et des croyances infondées, l’extinction de cette espèce, illustre aussi tristement la bêtise humaine. Heureusement, plusieurs sanctuaires privés consacrés à la conservation des rhinocéros ont vu le jour en Afrique. Solio Ranch, situé au Kenya est l’un d’entre eux. Près de 2000 individus prospèrent dans cet environnement, protégés jour et nuit par des gardes armés. Ce petit rhinocéros blanc représente l’avenir de l’espèce. Pendant deux années, cette maman et son jeune resteront inséparables jusqu’au sevrage. Il quittera sa mère lorsqu’elle donnera naissance à un autre petit.
Titre : Postérité (Crédit photo © Alexandre et Chloé Bès)

Distinctions :
- 2ème prix, catégorie mammifère, concours international Bio Photo Contest 2023 (Italie).
- Affiche officielle du Bio Photo Festival 2023 (Italie).
Photographie disponible à l’achat (tirage d’art en édition limité à 30 exemplaires).
photographies d’un flamant nain et gnou bleu au lac d’amboseli
Amboseli est situé à proximité de la frontière tanzanienne. Le paysage est unique en Afrique puisqu’il offre l’occasion d’observer les animaux avec le sommet enneigé du Kilimandjaro. De ce volcan, s’écoulent jusqu’à la plaine de nombreuses sources souterraines, alimentées par les eaux de fonte des glaciers. Le lac d’Amboseli est à sec la plupart du temps. Lorsque la pluie est abondante, principalement pendant la saison des pluies, celui-ci se remplit pour le plus grand bonheur des animaux.
Titre : Entre terre et ciel (Crédit photo © Alexandre et Chloé Bès)

Distinctions :
- 4ème place, catégorie animalier, Médailles de la Photographie Professionnelle Française 2023.
- 1er prix, catégorie le monde, concours du festival international « Lowland » 2022 (Pays-Bas).
Photographie disponible à l’achat (tirage d’art en édition limité à 30 exemplaires).
Titre : Traversée solitaire (Crédit photo © Alexandre et Chloé Bès)

Distinction :
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- Coup de cœur du jury, catégorie nature sauvage, concours international des marais de Séné 2023 (France).
Photographie disponible à l’achat (tirage illimité).
photographie du plumage coloré de la pintade vulturine
La pintade vulturine doit son nom à la ressemblance de sa tête et de son cou avec ceux d’un vautour. Cette espèce vit en troupe dans les habitats semi-désertiques d’Afrique de l’Est. Elle se distingue par son plumage de couleur noir et blanc mêlé de bleu-cobalt et lilas. Être aussi coloré est une exception pour une espèce qui vit au sol dans les terrains secs et poussiéreux. Dans ce milieu, les oiseaux ont un plumage généralement plus terne aux teintes brunes afin d’être camouflé lorsqu’ils sont à découvert.
Titre : Comme un bijou (Crédit photo © Alexandre et Chloé Bès)

Distinction :
- 3ème prix, catégorie graphisme de la nature, concours du Chamonix Photo Festival 2023 (France).